MAISON PETRICORENA

Coucou,

Il est temps que je vous parle de ma dernière découverte culinaire, Petricorena et leur sauce Aioli. Un pur délice en bouche, son goût provient de ses bons ingrédients et de sa texture onctueuse. Il s’agit d’une sauce méditerranéenne qui s’allie parfaitement avec les poissons, mais qui peut aussi sublimer bon nombre de plats, comme les côtelettes d’agneau, les viandes grillées ainsi que les légumes crus pour l’apéritif, sans oublier les fruits de mer, la soupe de poisson… J’apprécie énormément la petite touche de piment d’Espelette.

Colorée, savoureuse et pétillante, la cuisine basque et les recettes de la Maison Petricorena vous emportent comme le Fandango ! Clara Petricorena est la 4e génération à relever le défi au sein de cette maison et propose des produits sains, authentiques, cuisinés sans additif et de manière artisanale, tout en respectant bien entendu les règles d’hygiène et de traçabilité en vigueur. Mais rien de tout cela ne serait possible aujourd’hui sans la renommée de là de poudre de piment d’Espelette, et la fabuleuse histoire de la sauce SAKARI, largement imitée mais jamais égalée. Au début du 20e siècle, Mlle Lefore, bouchère de son état, épouse Laurent Petricorena, de retour d’Argentine où il a notamment appris à cuisiner le mouton avec un assaisonnement bien particulier. Ils développent l’activité de boucherie dans le village de Saint-Etienne de Baigorry et commencent à se faire connaître en organisant, des Sikiros, grands repas champêtres traditionnels au cours duquel on déguste le mouton grillé. C’est en fait leur fils, le grand-père, Jean-Pierre Petricorena qui a fait de la sauce basque produit connu et apprécié dans tout le Pays Basque : il était un grand joueur de rebot, discipline de pelote basque qui ressemble un peu au jeu de paume, et surtout un butteur exceptionnel. Ainsi, en 1951, il marqua 13 pics au cours d’une même partie, (13 points au but !), et ce record reste toujours inégalé ! Dans tout le Pays Basque, on l’appelait donc « Le Sakari » : Le buteur. Son métier de boucher et sa renommée grandissante l’amenaient à se déplacer dans tout le Pays Basque. A l’issue de chaque partie de pelote des fêtes de village, il cuisinait le méchoui du Zikiro (Sikiro). Pour l’occasion, il préparait bien entendu la fameuse sauce et on parla bientôt de la sauce du Sakari. En 1968, lorsque Laurent Petricorena reprend la petite boucherie familiale, il développe la gamme des salaisons, se forme à la fabrication des plats cuisinés en conserve et parcourt la France pour commercialiser ses produits sur les foires et marchés. Il décide alors de commercialiser la sauce en bouteille. C’est tout naturellement qu’il lui donne le nom de Sauce Basque Sakari.

 

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